Implantation

Actemium Maintenance Picardie

Nos valeurs portées par un collaborateur

  • De la restitution de voitures anciennes à la maintenance industrielle !

    Julien Maillot, Responsable contrats, nous parle de sa passion pour les voitures anciennes et nous explique comment cette dernière a influencé ses choix de carrière.

    • D’où viens ta passion pour les voitures anciennes?

    J’ai trempé dans l’automobile dès mon plus jeune âge, grâce à mon père qui travaillait dans le secteur automobile, de ce fait, j’ai mis les mains dans le cambouis très tôt.Et on peut dire que j’ai tout de suite aimé ça!

    • Comment elle se traduit ?

    Aujourd’hui, je suis principalement passionné de Peugeot 205. Je détiens comme modèle une 205 GL, une des premières sorties des chaines de production avec des spécificités assez rares aujourd’hui. Je compte aussi dans ma collection une 205 cabriolet, une 205 multi, une 205 GTI, une 205 XT, et pour terminer l’équivalent d’une 205 en pièces détachées. Je suis également membre du club 205.

    • Explique-nous-en quoi elle consiste concrètement dans ta vie de tous les jours?

    Mon but est d’acquérir des modèles peu courants et de les remettre dans un état conforme à l’origine. Ce qui demande beaucoup de savoir-faire.

    • Quelles difficultés rencontres-tu et comment tu les surmontes ?

    Les pièces les plus courantes se trouvent dans le commerce, donc il est facile pour moi de me les procurer. Par contre, dès qu’il s’agit de pièces spécifiques je suis obligé de les refaire ou les faire refaire.

    • Quel parallèle tu peux faire entre ta passion et ton métier ?

    De par ma passion, j’ai orienté mes études vers l’électromécanique car les bases de ce métier sont étroitement liées à la mécanique et l’électricité automobile. Cela me permet aujourd’hui de dépanner et restaurer mes véhicules grâce à mon expérience professionnelle.

    Pour résumer, on peut dire que c’est ma passion qui a défini mes objectifs professionnels !

  • Les équipes d'Actemium Maintenance Picardie remporte le trophée sécurité chez DOW Chemical!

    Actemium Maintenance Picardie remporte face à une vingtaine de prestataires, le trophée sécurité 2016 chez DOW Chemical. Ce géant industriel de la chimie valorise son partenaire pour ses performances, ses résultats et ses innovations dans le domaine de la sécurité.

    L’entreprise Amiénoise se voit récompensée pour son investissement en sécurité et dans le développement de la Smart Maintenance gage de qualité et de sécurité pour ses clients.

  • Un Ultra-marathon pour Mathieu !

    Pourquoi faire un marathon quand on peut faire un ultra- marathon? C’est ce que nous avons demandé à Mathieu, qui a participé à l’Ultra Bolivia Course. Une course à travers les paysages les plus fascinants d’Amérique latine mais surtout un parcours de 170 km en 6 étapes avec 2400 mètres de dénivelé positif et en autosuffisance.

    Une course pas comme les autres

    • Peux-tu nous parler de cette course pas comme les autres?

    Il s’agit d’une course de 170 km en 6 étapes à 3600 et 4000 m d’altitude. Elle est organisée par Canal Aventure un petit organisateur de course. Elle se compose de plusieurs étapes de différents kilomètres. Chacune des courses possède son niveau de difficultés. Parmi les plus marquantes pour moi, la première coursecaractérisée par des petits chemins par très bien défini et étroits avec 800 m de dénivelé. (Il ne faut pas se perdre!) Et une autre course dans un dessert de sel.

    Nous étions 15 coureurs au départ et 14 à l’arrivée. Chaque matin, il fallait se lever tôt car l’organisateur déplaçait le camp pour la nuit suivante.

    • Qu’est-ce qu’une course en auto suffisance ?

    Cela signifie qu’il faut gérer sa nourriture pendant 6 jours mais aussi gérer sa consommation d’eau de manière à en avoir pour pouvoir préparer sa nourriture. Hé oui, les repas sont lyophilisés! Et l’eau est donnée par l’organisation mais pas à volonté, il faut donc planifier tout ça. Pour la petite histoire, nous avons trouvé une astuce pour manger: coupé une bouteille plastique en 2 et manger directement dedans comme ça pas besoin de faire la vaisselle! Il faut veiller à avoir 2000 calories par jours et réduire le poids des sacs qui faisait déjà 7kg!

    Un défi hors norme

    • Pourquoi avoir choisi de faire cette course?

    J’aime la course. Je faisais déjà des marathons et j’ai voulu me lancer un nouveau défi avec les courses à étapes alors une course à étapes en Bolivie!

    • Comment t’es-tu entrainé pour L’Ultra Bolivia?

    Je cours 4 à 5 fois par semaine. Je n’ai pas forcément modifié mon entrainement. Je dirai que ce qu’il faut c’est beaucoup de mental, une bonne préparation, et une énorme dose de motivation.

    • Quelles sont les difficultés que tu as rencontrées?

    La plus grosse difficulté est l’altitude. C’était même une grosse inquiétude. Nous sommes arrivés 3 à 4 jours avant pour s’habituer. A notre arrivée, le moindre effort était dur, j’étais essoufflé de porter ma valise. En fait, le souffle ça va mais le plus dur c’est l’oxygène, pour les muscles. L’environnement en lui-même est compliqué, il fait 0 degrés la nuit et entre 15 et 20 degrés la journée.

    • Quel est ton pire souvenir?

    Je pense à une étape marathon de 42 km en plein dessert de sel. Vous passez 6h seul, dans le même décor, avec en plus le sel qui entre dans les chaussures et qui brule les pieds. Pour vous donner une idée de la situation, il fallait veiller à avoir des lunettes de soleil pour ne pas se bruler les yeux.

    • Et ton meilleur souvenir?

    C’est vraiment un tout. J’ai véritablement apprécié le côté humain. Nous étions de 8 nationalités différentes: canadien, Luxembourg, Bolivien, italien… dont 4 femmes. C’est vraiment très enrichissant

    • Et c’est quoi la suite?

    Je continue l’entrainement, cette fois pour le marathon de Paris. Je suis également tenté de refaire une course du même type que l’ultra Bolivia mais cette fois au Vietnam.

     

  • Bertrand Grabowski, Chef d'Entreprise d'Actemium Maintenance Picardie devient le nouveau président du club des Industriels de l'Esiee !

    Bertrand Grabowski, Chef d’Entreprise d’Actemium Maintenance Picardie devient le nouveau président du club des Industriels de l’Esiee !

    Avec pour objectif de remettre les entreprises au coeur de l’Esiee et les élèves au coeur du système. Découvrez l’article paru dans entreprise 80 :

  • Alain, chef d'équipe, finisher de la course VTT la plus difficile au monde !

    Alain, chef d’équipe, finisher de la course VTT la plus difficile au monde !

    Si vous ne connaissez pas la course la plus longue et la plus dure au monde, il y en a un qui la connaît très bien désormais, c’est Alain.

    L’ABSA Cape Epic est une épreuve de VTT par étapes hors catégorie qui se dispute par équipe de deux coureurs VTT. Elle se déroule en Afrique du Sud et regroupe les meilleurs coureurs de la discipline.

    Un défi hors norme

    Dans un délai impartit, pendant huit jours de course, les coureurs parcourent plus de 700 km en 7 étapes avec en plus, un prologue de plus de 14000 mètres de dénivelé positif.

    Un engagement physique et mental

    Défi relevé pour Alain Sueur, 45 ans qui a fait preuve d’un engagement physique et mental inébranlable pour terminer cette course en portant fièrement le logo Actemium Maintenance Picardie.

    • Pourquoi se mettre au vélo si tard? Comment le vélo est devenu une passion?

    Au début, je n’étais pas attiré par le vélo, je regardais le tour de France et voilà. Mais j’avais des copains et un collègue passionné, j’ai donc essayé par curiosité et très vite j’ai pris goût à ce sport et c’est devenu une vraie passion.

    • Pourquoi avoir décidé de relever ce défi?

    C’est l’une des courses VTT la plus dure au monde. De plus, dans mon club de vélo, deux personnesavaient déjà participéà cette courseet c’est en Afrique du Sud, moi qui n’ai jamais eu l’occasion de voyager. C’est vraiment partie d’une grande envie de découverte.

    • Comment vous êtes-vous préparé à une telle épreuve physique et mentale?

    C’est beaucoup d’entrainements en semaine et en weekend. Deux jours par semaine, j’effectuais 2h30 de home training (vélo sur roue) avec en supplément 1 footing de 10km chaque semaine. Et le weekend, on monte à 5h de vélo le dimanche. Ensuite, on s’entraine en faisant des courses. J’ai fait notamment, le Roc d’Azur et le Roc d’Ardenne. Ces courses font partie intégrante de l’entrainement, elles me permettent de faire beaucoup de dénivelé. La course Roc d’Azur par exemple, c’est 19km avec un dénivelé de 1900 mètres.

    Ce qui était vraiment compliqué, c’est de s’entrainer en hiver avec les conditions climatiques.

    • Quelles sont d’après vous, les valeurs portées par cette course?

    Le travail d’équipe, la solidarité. On est obligé d’être coordonné, chaque fin de journée, on ne doit pas franchir la ligne d’arrivée avec plus de 2 min d’écart. C’est une course à 2, il faut bien s’entendre, se motiver, s’entraider. Et puis, je dirai qu’il faut beaucoup d’engagement et de rigueur.

    • Selon vous, que faut-il pour réussir cette course?

    D’abord, sans la passion du vélo c’est impossible. Ensuite, il faut avoir beaucoup de courage, être déterminé et avoir l’objectif d’être finisher. Il faut vraiment aimer l’aventure!!

    Et aussi une bonne technique, la course dure une semaine, il faut garder une réserve. On fait en moyenne, 100 km par jour à 40 km/h, avec chaque jour un dénivelé de 2500 m.

    • Quel est votre meilleur et votre pire souvenir?

    Je commence par le pire. Une journée de 42°. La chaleur a rendu la course vraiment difficile. Mon meilleur souvenir? Cette même journée car on est passé dans un endroit magnifique, une réserve de singes, il y en avait partout. Et puis, un autre meilleur souvenir: l’arrivée bien sûr!

    • Dernière question, c’est quoi la suite?

    Cette année, on a terminé 212 au scratch sur 1200 et 115ème dans notre catégorie. C’est bien mais j’ai envie d’y retourner l’année prochaine avec un nouvel objectif: être dans les 100 premiers!! Et là, ce n’est pas pareil, dans les 100 premiers on a des professionnels, par exemple il y a des championnes du monde féminines. Mais je suis motivé, j’ai déjà commencé l’entrainement !

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